La loi du 7 octobre 2016 pour une République numérique (n° 2016-1321, JO du 8) et son décret du 9 mai 2018 relatif à l’envoi de lettres recommandées électroniques (n° 2018-347, JO du 12) ont supprimé l’ambiguïté qui existait concernant la validité du licenciement par recommandé électronique. Le principe est le suivant :