Dans un arrêt du 24 juin 2022 (n° 19/01913), la Cour d’appel de Douai a considéré que l’imitation de la signature du président de l’association par un salarié constitue une cause réelle et sérieuse de licenciement.
Dans un arrêt du 24 juin 2022 (n° 19/01913), la Cour d’appel de Douai a considéré que l’imitation de la signature du président de l’association par un salarié constitue une cause réelle et sérieuse de licenciement.